Godard filme un poème d’amour à Anna Karina en même temps qu’un constat social sur la déchéance d’une jeune femme, avec références à la Loulou de Pabst et à la Jeanne d’Arc de Dreyer.
« Mélomane devant l’éternel, Godard accorde une telle importance au son qu’on finit par ne plus savoir s’il crée de la musique à partir des images ou l’inverse. Souffle lyrique qui ponctue chacun des douze tableaux, des plages de violons et piano signées Michel Legrand surgissent régulièrement pour chavirer nos cœurs. »
Télérama
Générique
Le Cinématographe – Nantes